dimanche 29 janvier 2012

TANGO BAR, film de Marcos Zuriñaga (1988)



sur un scénario de José Pablo Feinmann, Juan Carlos Codazzi et Marcos Zurinaga, avec Raul Julia, Valeria Lynch et Rubén Juarez.
Deux danseurs de tango qui jusqu'alors avaient dansé ensemble se voient séparés par des idées politiques divergentes. Elle opte pour quitter le pays pendant qu'il reste fidèle à sa patrie malgré le climat de violence. 10 ans plus tard, elle revient avec son nouveau partenaire et retrouve avec son ancien compagnon...

jeudi 26 janvier 2012

Ouverture de la première école de lutherie de bandonéon

Il aura fallu attendre 2012 pour que la première école de lutherie de bandonéon ouvre ses portes en avril prochain, sous l'impulsion du luthier Oscar Fischer dont l'esprit, au lieu de garder ses secrets pour lui, souhaite au contraire, faire partager ce qu'il a lui-même appris au fur et à mesure des années, pour le faire grandir et fructifier.
En deux ans, les apprentis luthiers apprendront de nombreuses facettes de l'instrument. Cela devrait donner l'impulsion pour une fabrication nationale, sans doute le meilleur moyen pour abolir la loi de l'offre et de la demande qui ces dernières années, ne rend pas la pratique de l'instrument aisée aux jeunes musiciens qui veulent s'y mettre, vu les coûts prohibitifs.

Photo Olivier Elissalt

Vous pouvez rencontrer ce passionné et fervent défenseur de l'instrument, à la Casa del Bandonéon, dans sa nouvelle adresse : Salta 696 dans le quartier central de Monserrát à Buenos Aires, avec 200m2 pour profiter du bandonéon avec les meilleures explications.

Oscar Fischer a signé un accord en 2006 avec l'UNLA pour la fabrication d'un bandonéon populaire que j'ai déjà évoqué dans ces colonnes; il a cofondé avec le pianiste Julián Peralta, l'école de musique Orlando Goñi, créé le registre national de bandonéons et a été un élément fondamental dans l'élaboration de la loi qui a déclaré le bandonéon Patrimoine Culturel de la Nation Argentine.
Il a fondé la Casa del Bandonéon, à la fois Musée et atelier de réparation, et avec son intelligence, sa connaissance et sa militance, il était inévitable qu'il soit à l'origine de ce projet, qui va permettre d'inciter, espérons-le, encore plus, le gouvernement à s'intéresser de près, au moins à prendre avec une énorme considération, l'effectivité des bienfaits d'une fabrication nationale, devenue incontournable par les différentes lois votées depuis des années.

dimanche 1 janvier 2012

Commençons l'année avec Max Bonnay


Quand les accordéonistes se convertissent au bandonéon... Et en parlent avec des étoiles dans les yeux...